Les patients sont accueillis quelque soient leurs origines, statut social et le niveau d’avancement de la maladie.
Nombreux sont nos patients avec un cancer de stade 4. Ils peuvent également bénéficier de notre traitement quelque soit le passé thérapeutique (chimiothérapie ou non, radiothérapie ou non). Néanmoins, comme pour l’allopathie, il est préférable de nous consulter dès les premiers signes de la maladie et de la confirmation de son diagnostic. Il s agit d’une règle de prudence universelle qui permettra pour beaucoup d’éviter la diffusion plus large de la maladie et d’augmenter les chances de guérison du patient.
Chaque patient reçoit un traitement entièrement personnalisé, tant médicamenteux que psychologique et diététique.
Bien entendu, le premier entretien porte sur la vie du patient, son parcours de santé, les derniers diagnostics posés, ses motivations et attentes, l’analyse de son dossier médical. Si besoin, des analyses complémentaires tels bilan sanguin pourront être demandés.
Le médecin va élaborer son diagnostic tant avec les méthodes traditionnelles (prise du pouls pour détermination des doshas primaires et secondaires, examen des yeux et de la langue...) qu’avec la lecture des données plus modernes (IRM, PET scan...). S’il le juge nécessaire, il prendra contact directement avec le médecin référent du patient.
Il va en tirer un bilan exhaustif de l’état du patient, des pathologies primaires et secondaires et des contre indications potentielles (hyper tension, diabète...) pour adopter le meilleur traitement et sa durée.
Le traitement proposé à l’AAMRC se compose classiquement de 3 étapes :
Nombreux sont les patients (quasiment tous) qui arrivent avec un corps largement pollué au fil du temps tant par la maladie, le mode de vie que par les traitements médicamenteux, chimiothérapies par exemple qui pour beaucoup d’entre elles ciblent toutes les cellules y compris les cellules saines.
Toxines, résidus médicamenteux, déchets métaboliques, suroxydation des cellules par les radicaux libres sont toujours présents. Il est hors de question pour nous de prodiguer des soins avec une visée curative/palliative sur un corps ravagé par ces différentes sources et causes de toxicité.
C’est pourquoi la première étape du traitement aura pour objet la purification du corps. Selon l’ayurveda la purification se nomme Sodhana Chikilsa et est constituée de 3 formes différentes et complémentaires.
1) La purification interne notamment des organes viscéraux, via l’administration de mélanges d’herbes par voie orale (liquide, sirop, gelules, comprimés).
2) La purification externe en utilisant des médications externes sur tout ou partie du corps (pâtes, pommades, huiles chaudes...). L’application de pates où huile est traditionnellement appelée Karuthalepam & Yellow lepam.
3) l’application de Bio Chip, (syn Vishakkallu), pour la purification spécifique du sang. Il s’agit d’une méthode brevetée uniquement disponible dans notre centre.
Il s’agit de l’administration par voie orale ou cutanée du concentré SJ 29, qui a montré son efficacité pour tuer et/ou réduire les cellules cancéreuses, tumeurs et métastases. Sa toxicité potentielle a été largement étudiée notamment par un organisme tiers et neutre qu’est le Centre de Recherche sur le Cancer Amala a Thrissur TCR.
Contrairement aux chimiothérapies, il n’entraîne pas d’effets secondaires aux doses proposées.
Pour renforcer le confort du patient, ce médicament existe sous plusieurs formes : sirop (adultes et enfants), gouttes (adultes), gelules et pommades pour applications externes (maladie de la peau, os, tête...).
La durée du traitement et surtout des différentes phases est adaptée pour chaque patient. (âge, état du patient, rythme de progression de la maladie, réponse aux médicaments.)
Bien entendu, le composé SJ 29 ne peut se suffire à lui même. Son action est continuellement complétée par des mélanges d’herbes traditionnelles ou brevetés par notre centre.
Littéralement, le Rasayana signifie rajeunissement. Selon l’ayurveda, il convient après l’administration des différents principes actifs de renforcer le corps, le revitaliser et reminéraliser afin de mettre en harmonie le corps, ses différents organes qui ont été ciblés ou sollicités et l’esprit.
Il existe plusieurs dizaines de formes de Rasayana. Là aussi, du « sur mesure » sera fait pour le patient dans le ou les choix des formes de revitalisation. Les Rasayanas sont des composés à base de plantes et de minéraux fabriqués avec le plus grand soin. Leur préparation implique généralement de nombreux processus, longs et minutieux, et leurs ingrédients de base doivent être de la plus haute qualité. Leur but est de maintenir la santé de l'individu, de la restaurer si nécessaire et de renforcer le système immunitaire. Certains accélèrent la guérison et favorisent l'élimination des toxines, tandis que d'autres ciblent l'esprit et l'intellect, améliorant la mémoire et la capacité d'apprendre.
Cest aussi à ce stade que peuvent intervenir les massages et soins ayurvédiques inclus dans le Panchakarma. Mais attention, si beaucoup de ces massages sont attrayants pour le bien être qu’ils procurent, ils n’ont rien d’automatique en thérapie oncologique .En effet, ils deṕendent de l’état et de la pathologie du patient. Le Shirodara par exemple (jet d’huile sur le front) peut etre contraignant et exiger de se proteger des rayons du soleil notamment. Les patients avec des cancers broncho pulmonaires CNPC par exemple ne peuvent avoir accès qu’a certaines formes de panchakarma .
Citons les principaux:
Enfin, n’oublions pas la possibilité, voire l’exigence d'apprendre la technique de Méditation Transcendantale ou de pratiquer des postures de yoga. Les differentes postures de yoga , a ne pas confondre avec des exercices physiques,ne doivent induire aucune contrainte pour le corps.
Elles sont proposeés en fonction de l’état physique du patient et de ses pathologies. Elles pourront varier selon les organes touches ou à solliciter ( pancreas, reins…). Certaines seront déconseillees et réadaptees en cas d’hyper tension, insuffisance reinale ou hépatique par exemple.
Alors, l’AAMRC est- il le meilleur centre anti-cancer au monde ou le centre miracle ? Bien sûr que non, il s agit d’un centre différent et très complémentaire des centres anti-cancers conventionnels.
Certes, si nous obtenons de nombreuses guérisons totales, et des stabilisations longues de la maladie même au stade métastatique, qui ont fait remarquer notre Centre, nous ne pouvons guérir tous nos patients. Mais dans tous les cas, nous obtenons une amélioration nette de l’espérance de vie conjuguée (c’est l’avantage central de l’ayurveda) à une qualité de vie bien supérieure, grâce à des effets secondaires largement diminués.
Nos traitements ne sont pas parfaits et nous devons encore aller beaucoup plus loin, tout comme nos collègues oncologues allopathiques.
Le choix de venir dans notre Centre n’est pas neutre ,bien au contraire.
Ce peut etre celui de sortir du cadre pour lever certains verrous ou impasses therapeutiques ou bien d’aborder la maladie des son diagnostic sous un autre angle. Quels que soient les fondements des choix des patients, il existe pour chacun d’entre eux un socle commun :celui de redevenir acteur de son renouveau et/ou de sa guerison tant par le corps que l’esprit en restant maitre de ses choix.
Pour d’autres enfin, il s’agira aussi d’un cheminement initiatique pour s’ouvrir a une autre culture et forme de spiritualite.( à ne pas confondre avec du tourisme medical !)
La médecine ayurvedique âgée de 5000 ans, n’aurait pas traversé les siècles si elle n’avait pas d’efficacité. Il n y a pas de médecine meilleure qu’une autre, elles ont toutes leurs spécificités et leurs limites. Loin de les opposer, il nous faut les réunir pour bénéficier de leur complémentarité.
Les barrières entre disciplines et spécialités médicales longtemps érigées en forteresses sont désormais tombées partout dans le monde. A tel point qu’à présent dans tout hôpital qui se respecte, les cas de chaque patient sont désormais analysés par un collège de praticiens multidisciplinaires.
Cette étape franchie, il nous faut construire la suivante qui est celle du diagnostic et du traitement par approche médicale complémentaire (ayurvédique et allopathique par exemple).
L’avenir de nos médecines n’aura de sens que si ces dernières se conjuguent harmonieusement et permettent une approche thérapeutique globale et individualisée.
L’approche classique en oncologie :
« Certes, des patients différents mais un traitement pratiquement identique pour tous « a atteint ses limites et se fissure.
La médecine ayurvédique en oncologie et les thérapies allopathiques ciblees représentent pour nous un duo d’avenir prometteur en cancérologie .
Leur alliance ne pourra qu’ouvrir plus avant l’ensemble des champs du possible pour chaque patient et ses therapeutes.